giovedì 9 maggio 2013



Comment aider les patients sous traitements oncologiques

« Vous avez un cancer! »
 L’annonce du diagnostic est un coup de tonnerre dans un ciel bleu!
Peu d’individus sont alors capables de penser et de raisonner sainement, et c’est normal. Mais ceci ne fait que compliquer les choses.
La première  réaction du patient, on ne peut plus humaine, est celle de vouloir se débarrasser le plus vite possible de cette tumeur que l’on vient de découvrir. Première erreur!
La réaction du médecin qui la découvre est de pratiquer immédiatement et systématiquement une biopsie. Deuxième erreur!
Nous allons nous expliquer immédiatement sur ces deux points extrêmement importants. 

On a pu déterminer que la phase préclinique dure en moyenne :

9 ans pour le cancers du sein
7 ans pour un cancer papillaire de la thyroïde
8 ans pou un EOA du poumon
14 ans pour une tumeur du pancréas
10 à 70 ans pour un adénocarcinome

On peut donc immédiatement se poser des questions sur le bien fondé des campagnes de dépistage soit disant précoce, en particulier celle de la mammographie systématique. Un petit cancer de 1 cm est déjà un cancer de 10 ans.

Vous n’avez donc pas à vous précipiter.
 Prenez le temps de réfléchir, de choisir votre équipe médicale, de prendre conseil auprès de plusieurs spécialistes s’il le faut.

Ceci ne veut pas dire qu’il faut attendre des mois! Mais quelques jours ou quelques semaines (s’il n’y a pas eu biopsie) n’ont pas de conséquence.

S’il n’y a pas eu encore biopsie? Pourquoi cette condition?

Le problème épineux de la biopsie se pose en effet :

Est-elle nécessaire?

Est-elle dangereuse?

Pourquoi est-elle obligatoire? On ne peut discuter le fait que l’examen histologique soit l’examen le plus fiable , malgré ses grosses carences, pour affirmer un diagnostic de cancer.

Mais d’un autre côté, on ne peut pas discuter non plus le fait que la biopsie représente un danger pour le patient. Les preuves existent n’en déplaise à ceux qui nient cette évidence.

Une étude américaine, en 1998, a étudié et suivi pendant 2 ans plus de 400 cas de patients ayant subi une biopsie. Les conclusions sont à ce point inquiétantes que leur publication a été mise « sous l’éteignoir » et le livre de leur auteur  « What is biopsy and Cancer » ( David J. BOLLINS), censuré. Poussées évolutives, dégénérescences de tissus métaplasiques, ensemencements des trajets de l’aiguille de prélèvement, sans parler du manque de fiabilité  dont nous avons parlé, y sont notés.

La recherche fondamentale a déjà en grande partie expliqué les raisons  d’être particulièrement prudent avant de pratiquer des biopsies répétées et multiples.
Il existe au moins trois raisons pour discuter  une biopsie:

1.     Les hématomes provoqués obligatoirement par une ponction ou une biopsie entraine la mort de nombreuses plaquettes libérant ainsi du PDGF, une atteinte des fibroblastes libérant du FGF et du IGF (insuline-like).,  qui sont autant de facteurs de croissance pouvant provoquer une flambée évolutive.
2.     L’effraction accidentelle de la membrane basale des tissus envahis peut permettre aux cellules malignes d’envahir plus facilement et plus rapidement les tissus sous-jacents vascularisés.
3.     L’agression du tissu tumoral engendre des migrations cellulaires dans la circulation comme l’ont signalé de nombreux auteurs FISHER, TURNBULL, GOLODIE COLOMBO, CARVAHLO, WARREN-COLE , sans oublier R.HEUBERVAL qui dans son livre « cellules cancéreuses et insolites du sang circulant (préface de Jean BERNARD) écrit:
       « Toute manipulation ou agression tumorale doit être considérée comme dangereuse»

Alors, la biopsie est-elle nécessaire?
Sur le plan juridique, oui.

Sur le plan scientifique et médical plusieurs cas de figure existent.

                   L’examen histologique reste actuellement le moyen le plus sur pour diagnostiquer  la malignité d’une tumeur, même si les techniques de prélèvement et l’examen histologique lui-même ne sont pas infaillibles. Nous sommes d’accord sur ce principe.
                   Mais , le rendre systématique d’une part, et d’autre part répétitif et enfin le pratiquer sans prendre de précautions préalables, pouvoir pratiquer des biopsies extemporanées en salle d’opération et ne pas le faire, là nous ne sommes plus d’accord.
                   Dans bien des cas cette biopsie est inutile et ne sert qu’à satisfaire la curiosité scientifique.
                   On va bien sûr me rétorquer que sans un examen histologique on ne peut décider d’un protocole thérapeutique. Dans 80% des cas c’est faux et la démonstration est facile, s’il faut le faire pour certains qui en douteraient.

-La loi nous oblige de pratiquer une biopsie. Un médecin sera condamné systématiquement s’il n’a pas pratiqué cet examen s’il y a procès ou enquête du conseil de l’ordre en cas d’intervention chirurgicale ou de traitement: radiothérapie ou chimiothérapie.

-Connaissant les travaux de la recherche fondamentale et les réalités cliniques ceci est regrettable, mais c’est hélas la réalité et, pour l’instant, nous ne pouvons que nous plier face à la puissance du pouvoir médical en place.

-Traiter avant une ponction ou biopsie reste la solution la moins mauvaise, soit par une chimiothérapie adaptée, soit par anti-angiogénèse ou encore  par un traitement antihormonal si le cas le permet.

Ce que je reproche donc à mes confrères , ce n’est pas le fait de faire des biopsies, mais de les pratiquer sans discernement, de façon systématique et surtout sans précautions, oubliant ou ignorant des connaissances acquises mises à notre disposition par une recherche fondamentale qui progresse.

Mon maitre , le professeur Lucien Israël écrit dans « Cancer aujourd’hui »:

«  Des connaissances réelles, opérationnelles, acquises ces dernières années dans le traitement des cancers sont niées et la plupart des malades sont traités comme si elles n’avaient pas été acquises. »
Résumons nous:

1.     Vous avez le temps.
2.     Choisir son équipe.
3.     Demander un traitement de protection avant toute biopsie ou mieux, lorsque c’est possible, une biopsie extemporanée.

Mais annoncer «  Vous avez un cancer » c’est bien plus que «  Vous avez une maladie grave » et plus encore que « Vous avez une maladie possiblement mortelle. »

Dans le contexte culturel qui est le notre, c’est lui promettre l’enfer, c’est lui infliger un traumatisme énorme.

Il faut démystifier la maladie cancéreuse. Le cancer doit occuper la même place dans la conscience collective que les autres maladies dont on peut mourir.


Cette démarche est la première victoire contre le cancer que vous devez remporter, mais cela est aussi une victoire sur vous-même, combien nécessaire, car elle signifie que vous voulez vous battre et vivre.

Quant aux médecins qui vous traitent, eux aussi, doivent remporter leur première victoire face à la maladie cancéreuse: réaliser qu’ils peuvent lutter pied à pied avec un cancer même s’ils ne peuvent le terrasser du premier coup par le bistouri ou la radiothérapie.
Oui, on peut vivre longtemps avec un cancer . Le pessimisme , le sentiment d’impuissance est trop souvent rencontré chez les spécialistes du cancer dés qu’apparaissent des métastases ou des complications satellites et même parfois avant. C’est ainsi qu’ils choisissent l’abstention thérapeutique souvent trop vite au lieu de prendre conscience que les résultats thérapeutiques seraient autrement satisfaisants si les connaissances déjà acquises étaient mises en pratique.

« Le médecin doit avoir le courage de croiser le fer avec la maladie au lieu de fuir le combat ». Lucien ISRAEL. 

Il faut que le cancer ne soit plus la maladie tabou!

Pourquoi des médecins accepteraient le défi de maladies aussi graves que les insuffisances cardiaques, rénales, respiratoires , maladies qui provoquent autant de décès annuels et que les cancérologues renoncent au combat?

Pour livrer au mieux ce combat il faut que le malade, les médecins, la famille fassent corps, constituent une équipe .

Le combat sera long, parfois difficile, et les erreurs faciles. Je citerai de nouveau une parole de L.ISRAEL:

« Il s’agit d’une partie d’échec. Le problème est que la maladie part avec les blancs donc avec un coup d’avance. Une erreur risque d’être fatale. »

Comme je vous l’ai dit au début, la maladie cancéreuse est la plupart du temps découverte assez tardivement.
Ni la biologie, ni la radio, ni l’échographie, ni le scanner, ni la RMN, ni le PET SCAN, ne permettent un diagnostic vraiment précoce, malgré tout ce que l’on peut raconter.
Aussi, lorsque l’on diagnostique une tumeur, les risques de métastases sont grands , même si nous ne les voyons pas, même si les ganglions prélevés sont négatifs.
Ceci a pour conséquence qu’un traitement général est la plupart du temps nécessaire. Et traitement général sous entend CHIMIOTHERAPIE.
En effet, la CHIRURGIE et la RADIOTHERAPIE sont des traitements locaux qui ne peuvent avoir une action générale.
Bien que, malheureusement, ce ne soit pas encore dans la routine , la CHIMIOTHERAPIE NEO-ADJUVANTE, c’est-à-dire avant la chirurgie et la radiothérapie, est la solution thérapeutique la plus logique.

«  L’urgence en cancérologie, ce n’est pas d’opérer, mais c’est de traiter les micro métastases. » Prof. POUYARD Institut Curie.

La chimiothérapie est une thérapie lourde, surtout comme elle est appliquée dans les hôpitaux.
De plus , aucun traitement de soutien n’est ni administré ni conseillé. Les médecins généralistes ne sont pas formés par nos facultés pour prendre en charge le patient cancéreux sous traitement. C’est par leurs réflexions personnelles qu’ils aident parfois les malades.




QUELQUES QUESTIONS :

QUE FAIRE SOUS RADIOTHERAPIE?

      Et d’abord ce qu’il ne » faut pas faire:
      - Prendre les anti oxydants.
      - Ne pas s’exposer au soleil
      - Contact avec les enfants jeunes

      Se passer localement chaque soir du gel GAMMACOMPLEX plus efficace que les pommades proposées par les services de radiothérapie.
      Prendre tous les jours 2 capsules de DELTA A .
      Prendre tous les jours VITIGIN COMPLEX qui augmente la microcirculation.
      Si l-œsophage est dans le champs d’irradiation prendre tous les matin avant la séance un bol de bouillon des 4 céréales dit d’Hippocrate.
      15 jours après la fin de la radiothérapie reprendre les anti oxydants et surtout le GLUTATHION.
      Le Dr. TUBERY et Fondation Solidarité ont également a disposition des plantes africaines intéressantes à utiliser .  

COMMENT SUIVRE L’EVOLUTION DE LA MALADIE OU L’EFFET DES THERAPIES?

Les marqueurs classiques et l’imagerie sont malheureusement souvent peu parlants ou tardifs.

Des examens permettent d’avoir une vision un peu plus précoce même s’ils ont eux aussi leurs limites. Ils sont souvent très utiles. Il faut s’adresser à des médecins qui les connaissent.

STP TEST
BILAN VERNES
CEIA

Et maintenant, je ne puis clore mon exposé sans aborder l’alimentation, c’est évident.
Avant toute chose, je voudrais faire quelques remarques qui me paraissent fondamentales avant que nous abordions des études portant sur un organisme vivant et en particulier sur le corps humain et sa physiologie, par le biais de son alimentation.

1.     « En médecine on n’est jamais sur que ce qu’on manipule est bien deux ».
2.     Il n’existe pas 2 hommes semblables, deux êtres identiques sur la terre.
3.     La multiplicité des substances intervenant dans l’équilibre d’un être vivant rend problématique toute expérimentation et rend difficile toute évaluation réelle. Ayez toujours à l’esprit la parole de PARACELSE: « En dehors de la chimie vous tâtonnerez dans les ténèbres ».
4.     Il ne faut plus parler du cancer mais des cancers, tous différents eux aussi.
5.     Il ne faut pas perdre de vue qu’il y a dans l’organisme d’un animal dit supérieur, comme l’homme, plusieurs dizaines de milliers d’enzymes intervenant chacune dans le métabolisme d’une substance particulière et que les produits nouveaux engendrés par cette réaction peuvent influer et moduler les réactions enzymatiques et aboutir ainsi à la formation de produits différents.

Ceci permet de comprendre immédiatement: 1- combien l’équilibre alimentaire peut intervenir dans les modalités fonctionnelles d’une cellule, d’un organe, mais aussi dans les désordres provoqués par un facteur pathogène.
2- Mais aussi, qu’il faut éviter les raisonnements trop simplistes et surtout sectaires, en d’autres termes rester humble.

Je comprends le désarroi d’un patient qui, passant d’un médecin hospitalier qui lui dira (en général) de manger ce qu’il veut, à un généraliste qui ne sait pas trop, à son homéopathe qui lui conseillera le régime du dr. Kousmine (par exemple), et qui ensuite lira le livre du dr. Seignalet, du pr. Joyeux, ou du dr. Servan-Schreiber et sans oublier bien sur celui  du prof. Khayat ou encore de l’instinctothérapie, puis rencontrera un ami qui pratique la macrobiotique, sera invité chez un cousin végétarien, et enfin entendra parler à la télévision du régime sans polyamines. Mettez-vous à sa place!
J’aimerais donc que nous tentions de mettre un peu d’ordre dans tout cela.

Et pour mettre de l’ordre il faut d’abord revenir aux travaux de la recherche fondamentale et puis, au moment de donner une opinion , tenter de rester logique et éviter les 2 écueils dont j’ai parlé précédemment: tomber dans le simplisme et surtout le sectarisme.
Car, une chose est d’énoncer tous les besoins à satisfaire pour assurer une alimentation qui épargne et prévient dans la mesure du possible les cancers, autre chose est de le réaliser.
La première chose que je proposerai est de définir ce qu’est en fait un organisme cellulaire.
MONTAGNIER le définit comme des cellules qui baignent dans de l’eau de mer.
Notre corps est fait de 70% d’eau. Il existe dans une cellule 1 molécule de protéine pour 10.000 molécules d’eau.
Aussi, je pense que l’eau par ses propriétés, physiques, chimiques, mécaniques et surtout électromagnétiques joue un rôle d’une importance capitale qui est sous-estimé, oublié , ignoré , parfois dénigré par la plupart de ceux qui parlent d’alimentation. Pour notre part, nous y reviendrons longuement.
La recherche scientifique l’a démontré:
l’encrassage extracellulaire et intracellulaire est la cause principale de la genèse des cancers mais aussi de la majorité des grandes maladies.

2 commenti:

Philippe Perrot Minnot ha detto...

Bonjour
Je cherche à contacter le Dr Philipep Lagarde
pour partager avec lui des perspectives d'explications chimiques
concernant le CANCER et d'autres pathologies (SEP entre autres).

J'étudie depuis 20 ans (hors des chemins établis) les éléments chimiques du corps humain.
Initialement géologue, j'ai appliqué les principes d'études des éléments dans les minéraux
à l'étude des éléments dans le corps humain.
Une clef certaine se trouve dans les cellules gliales avec le CALCIUM .
Des moyens thérapeutiques simples (et naturels) en découlent
(expérimentés avec succès depuis 5 et 3 ans...)
Le Calcium est largement "méconnu",
les médecins n'identifient même pas sa couleur (vaste programme).
Divers résultats de mes recherches sont en partage
sur ab-litho-veritas. blogspot.com
http://ab-litho-veritas.blogspot.fr/2012/04/calcium-meconnu-voire-ignore.html
http://ab-litho-veritas.blogspot.fr/2013/02/innovation-sante-bain-de-pieds-au-platre.html
http://ab-litho-veritas.blogspot.fr/2015/05/fontaine-de-jouvence-les-eaux-qui.html
A ce jour les investigations sont complétés par des résultats applicables.
Je souhaite, si cela vous intéresse et si vous le souhaites, les mettre à votre disposition.

Mon mail de contact est dans le blog ab-litho-veritas.

Cœurdialement
Philippe Perrot Minnot

Philippe Perrot Minnot ha detto...

Bonjour
Je cherche à contacter le Dr Philipep Lagarde
pour partager avec lui des perspectives d'explications chimiques
concernant le CANCER et d'autres pathologies (SEP entre autres).

J'étudie depuis 20 ans (hors des chemins établis) les éléments chimiques du corps humain.
Initialement géologue, j'ai appliqué les principes d'études des éléments dans les minéraux
à l'étude des éléments dans le corps humain.
Une clef certaine se trouve dans les cellules gliales avec le CALCIUM .
Des moyens thérapeutiques simples (et naturels) en découlent
(expérimentés avec succès depuis 5 et 3 ans...)
Le Calcium est largement "méconnu",
les médecins n'identifient même pas sa couleur (vaste programme).
Divers résultats de mes recherches sont en partage
sur ab-litho-veritas. blogspot.com
http://ab-litho-veritas.blogspot.fr/2012/04/calcium-meconnu-voire-ignore.html
http://ab-litho-veritas.blogspot.fr/2013/02/innovation-sante-bain-de-pieds-au-platre.html
http://ab-litho-veritas.blogspot.fr/2015/05/fontaine-de-jouvence-les-eaux-qui.html
A ce jour les investigations sont complétés par des résultats applicables.
Je souhaite, si cela vous intéresse et si vous le souhaites, les mettre à votre disposition.

Mon mail de contact est dans le blog ab-litho-veritas.

Cœurdialement
Philippe Perrot Minnot

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